MÉTA REFLEXION 2

Et bien,en travaillant ce weekend avec the time line thérapy,les résultats qui m'ont surpris c'est après avoir presque "le grand nettoyage du printemps"et bien j'ai une autre façon de réagir avec les enfants et bien j'arrive enfin à me faire comprendre sans s'épuiser nerveusement,de plus (et oui Frédéric)mieux vaut tard ou jamais lolj'ai enfin compris et surtout je pense acquis la notion,la carte n'est pas le territoire surtout avec mon mari l'OL

comme je l ai dit sur la question 1 on peut travailler sur tous ,mais parfois je pense qu l'inconscient nous joue des tours il nous met l'arbre pour cacher la forêt...
Comment savoir si nos croyances ne viennent pas limiter nos actions sur nous même...
je pense donc qu'une intervention externe peut être parfois salvatrice !!!
nous sommes notre premier client et le premier client de notre coach  

je fais partie d'un système:
pour intervenir je dois le séparer en plusieurs sous-systèmes (famille, travail, amis, engagements divers...) sinon c'est trop complexe: 1ère limite.
2ème limite: il y a ce qui dépend de moi et ce qui dépend des autres.c'est une clé qui m'a toujours manqué (et que m'a été donné lors d'une séance d'hypnose cette année...).

L'écologie n'est pas une simple question du genre: "ça te dérange pas trop si t'arrête de fumer?"
l'écologie c'est "l'étude des interactions entre l'homme et son environnement" ce qui fait de la PNL: " une discipline appliquée de l'écologie".

j'ai passé les 15 jours suivant le week-end sur la TLT, à m'occuper de certaines casseroles que je trainais.

nouvelles compétences+nouvelles perceptions= renégociation interne nécessaire.

Voici ze limite: si je ne fais pas cela je ne peut pas continuer à avancer sans un coût écologique trop élevé! Maudit dialogue interne! Sacré génie de la lampe!
Du coup j'ai rien fait d'autre concernant la formation: limite du temps!
Temps perdu ou préparation aux étapes suivante?  

Mon ancien prof de bio me racontait:
"quand j'étais petit, pendant la guerre, fallait aller chercher de l'eau avec un seau en bois fait de planches de bois verticales cerclées d'anneaux de fer.
toutes les planches n'avaient pas la même hauteur, donc c'était la planche la plus courte qui déterminait la hauteur maximum d'eau que l'on pouvait mettre dans le seau.
cela ne servait à rien de rallonger les planches les plus longues, les planches les plus courtes faisaient perdre l'eau..."

cette histoire m'a poursuivie lors de mes études de biologie ( études des écosystèmes), et
ma pratique d'autonomisation de l'homme (dans mon boulot d'infirmier).
c'est ma plus forte croyance sur les limites:
je l'applique à moi-même, aux autres et aux systèmes auxquels nous appartenons.